Quelques textes personnels
Afin de vous faire une idée de mon style (adaptable à vos besoins) et de mon imagination (débordante) ; je vous propose quelques textes. Ils sont, pour la plupart, rédigés avec mes tripes.
Comme j'ai pu le dire par ailleurs, elles sont là, sur la table, servez-vous, régalez-vous.
Je publie sous différents pseudos. Angie Edengac est le principal, mais Jessy Per, Scott Chais, Sandra Geffroi, Blondie et bien d'autres parsèment la toile de mes « œuvres » littéraire.
Ce texte répond à un défi d'écriture comportant deux clauses :
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écrire de manière à ce que l'on ne sache pas quel est le sexe du narrateur,
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évoquer l'angoisse viscérale, qui prend aux tripes et à la gorge comme un bourreau dont vous seriez la victime.
Lassée du manque de contact sincère entre les gens, j'ai écrit ce texte dans l'idée de faire réagir, de secouer.
Autre défi pour un autre classique : si vous pouviez adresser une lettre à l'enfant que vous avez été, que lui diriez-vous ?
Si vous avez du temps, ce texte est bien plus long que les autres.
Il parle des déboires de la féminité vus… de l'intérieur et du contraste entre les générations.
Nouvelle avec deux critères imposés :
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un titre de deux syllabes finissant par le son [on],
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rédiger, corriger, mettre en page et publier le texte de 1000 mots minimum en moins de 24 heures.
Blondie, sous ses airs de fille simple, évoque les violences physiques faites à la femme qu'elle est.
Description d'une journée de repos, pour profiter de la vie.
À ne pas lire si vous n'avez pas encore d'enfant. (Je ne veux pas être responsable du vieillissement de la population française par le découragement de mères en devenir. ☺)
« Tous les silences ne font pas le même bruit », Baptiste Beaulieu.
Cette citation m'a inspiré le texte qui suit.
J'ai écrit ce texte en quelques minutes pour répondre à un défi.
Dans mes bêta-lectures, je traque souvent les verbes dits « faibles » comme « avoir », être », « faire », « dire », etc. Un ami disait « Il faut éviter les très anonymes et peu courageux "on", "quelqu'un", "Beaucoup de gens" ; les cavaliers de l'apocalypse "truc", "chose", "bidule" et "machin", ainsi que leurs batards de l'enfer "machin-chose" et "truc-bidule" ; les paresseux "un peu", "très" et, bien évidemment, forcément, inévitablement, les adverbes, ces tiques accrochées à nos verbes pour en extraire toute la substantifique moelle. Il faut "aiguiser" notre écriture pour que le texte ose s'imposer au lecteur. »
Le défi : écrivez un texte regroupant le plus grand nombre de termes faibles et essayez d'en faire un texte intéressant.
Défi : "Le récit d'une maladresse, une humiliation, un écart malheureux, une intuition qui se révèle être ridicule une fois matérialisée hors de votre bocal intime, une douche écossaise, une couche isocèle, un vrai faux pas.
Favorisez l'éclosion de la sincérité, soyez bref, tranchant, dégagez vous de toute idée préconçue de ce que doit être un texte littéraire. Laissez l'émotion guider vos doigts sur le clavier…
Feu !"